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 → KENKEN again & again ;

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Anzai Ken
Anzai Ken

─ Messages : 164
─ avatar : Yamashita Tomohisa
─ dc : yep

─ activité : Etudiant

MessageSujet: → KENKEN again & again ;   → KENKEN again & again ; Icon_minitimeMar 9 Aoû - 23:19

๑ identity
NOM ─ Anzai
PRENOM ─ Ken
ÂGE ─ 19 ans
ORIENTATION SEXUELLE ─ hétérosexuel
ACTIVITE ─ étudiant en sport études ( basket )
STATUT SOCIAL ─ aisé
DATE DE NAISSANCE ─ 05 / 04 / 1992
LIEU DE NAISSANCE ─ Tôkyô
GROUPE SANGUIN ─ B
SIGNE ASTRO ─ Bélier & Singe

๑ who are you?
Ken est un jeune homme qui possède un caractère très facile à cerner. Attachant, drôle, il a tout pour plaire à son entourage et son principal atout est d’être très facile à vivre.
Ken aime rire et faire rire, et a horreur de la tristesse. Ainsi, il a développé une tactique qui est de faire le clown dès qu’il en a l’occasion. C’est son activité principal car il adore voir le sourire des gens qu’il aime. Leur bonheur est son moteur pour avancer dans la vie.
Ken a le cœur sur la main, et il est toujours prêt à aider ou rendre service à ses amis dans le besoin, mais pas uniquement ses amis, sa générosité s’étend un peu partout. Il a toujours été serviable et avenant, et c’est une chose dont sa mère se satisfait tout de même.
Ses blagues sont tantôt intéressantes, tantôt aussi nulles que celles des carambars ! Tout dépend de son humeur, de son inspiration et surtout de la situation. Ken prend un malin plaisir à taquiner Ryuzaki, le petit jeunot de la bande, et est assez complice avec Nobuo qui est le seul à saisir son humour décalé à 1OO%.
Cependant, derrière toutes ces qualités se cachent quelques défauts bien placés. Déjà, pour commencer, le pire aux yeux de sa mère, sa paresse. Ken est un énorme flemmard qui fait toujours le strict minimum lorsque ça concerne quelque chose qui ne lui tient pas à cœur, parce que dans ce cas-là il se défoncera au maximum. Non, en ce qui concerne les tâches ménagères et les études, notre bonhomme ne se foulera pas le petit doigt pour quoi que ce soit, vous pouvez en être assurés.
Ensuite, Ken n’a pas une grande confiance en lui et perd toute son assurance quand il s’agit de sa personne. Autant pour les autres il est toujours très confiant, autant dès qu’il est impliqué toute sa ferveur retombe comme elle est venue. Ken n’est pas timide, non, ça c’est impossible, mais il n’a tout simplement pas confiance en lui. Il ne sait même pas ce qu’il fait parmi les KnS car il faut soi-disant être un beau gosse à tomber par terre pour oser faire partie de cette bande très fermée, et qu’il ne se considère pas du tout comme tel. Pourtant, avec toutes les groupies qu’il s’est fait au sein des lycéennes de Jiyuu Gakuen, il a de quoi réviser son jugement personnel, mais rien n’y fait, il a tendance à se dévaloriser tout le temps.
Ken est également maladroit, dans tous les domaines. Ne lui confiez rien de fragile, hormis si vous tenez à le retrouver en version puzzle. Avec les filles, c’est pareil, il s’est vu refuser plusieurs déclarations enflammées parce qu’il ne sait pas s’y prendre et que de toute façon ce n’est pas sa tasse de thé de jouer les tombeurs à l’image de Nobuo. (on taira aussi le fait qu’il est obnubilé par Hikaru … ^^) Cependant, même si quand il est le concerné numéro un il est mal à l’aise et devient simplet à n’en plus pouvoir, pour se moquer de ses amis, en particulier Nobuo avec qui il a fait un pari risqué, il répond toujours présent !
Ken, en plus de tout ça, est un jeune homme bien gourmand, ce qui pourrait lui jouer des tours. Heureusement qu’il est très sportif, cela compense tous ses écarts dans son ‘régime’ ! Par-dessus tout, notre protagoniste raffole des onigiri et c’est la seule chose qu’il sait cuisiner. Au moins si on le flanque à la porte, il saura quand même se nourrir ! (XD)
Ken affiche peut-être un air niais en permanence pour parfaire son image de clown de foire, mais il est loin de l’être vraiment et il est encore moins naïf. Il a l’esprit très vif et éveillé, s’intéresse à beaucoup de choses autour de lui mais seulement à ce qui l’intéresse. Ainsi, très intelligent, il pourrait avoir des notes excellentes en classes mais sa paresse hors du commun l’emporte toujours et il se contente d’être dans la moyenne, ce qui lui vaut d’éternels conflits avec sa mère. Oh, Ken n’est pas colérique du tout, au contraire il est en général très calme, mais lorsqu’il s’énerve il devient vite incontrôlable et mieux vaut garder ses distances. Ken n’est ni violent, ni influençable mais il s’emporte assez vite et est très têtu. Affaire à suivre …
Concernant ses goûts, Ken aime avant tout manger, cela vous le comprendrez vite. C’est sûrement celui qui remplit le plus son plateau à la cantine, celui qui est le dernier à en sortir parce qu’il est allé se resservir. C’est un glouton. Il adore la nourriture française qui lui change de la traditionnelle cuisine nippone à base de poisson en majeure partie. Il aime aussi énormément le sport, tout particulièrement le basket qu’il affectionne sincèrement.
Ken a horreur des gens tristes alors il bataille quotidiennement pour faire garder le sourire à son entourage.
Il aime bien les animaux et aimerait bien avoir un chien ou un chat chez lui. Malheureusement, sa chère mère ne l’entend pas de cette oreille.


๑ tell me your story
Ken –le Conquérant- naquit dans une famille un peu bourgeoise de la société nippone. Premier enfant de la famille, quelle ne fut pas la joie des parents lorsqu’ils apprirent que c’était un garçon. En bonne santé, qui plus est. Que demander de plus ? Que cet enfant soit parfait, eh oui.
Pour vous mettre un peu dans le contexte, il est bon à savoir que le père de Ken est un riche chef d’entreprise à la tête d’une grande chaîne de produits électroniques innovants. Autant dire que c’est un homme assez riche et influent, avec une place au soleil dans la société nippone. En bref, un homme important, respecté et craint. Il songe également à reprendre, en plus de son entreprise, une autre société. Mais c’est en pour parler et ce n’est pas ce qui nous intéresse.
La mère de Ken, quant à elle, est une femme de bonne famille dont les parents sont de riches actionnaires. Vous vous douterez sans avoir besoin de mon aide que le mariage de Mr Anzai et de Melle Nagawa fut un mariage arrangé. Ainsi, pas d’amour, juste l’argent qui les unit. C’est beau … u_u.
Ken est donc né de l’union de ces deux individus qui à peine savent comment l’autre s’appelle. Le mari s’occupe jour et nuit de tenir son entreprise qui marche merveilleusement bien, la femme s’occupe des comptes de la famille, elle gère l’argent et les dépenses. Pas de place pour un peu d’amour.
Les parents de Ken étaient déjà d’âge mûr lorsque Mme Anzai accoucha. Le père avait déjà dépassé la quarantaine et la mère les atteignait tout juste. Imaginez le choc de Ken lorsqu’il apprendra que les parents de ses camarades ont au moins quinze ans de moins …
Il fallait absolument un héritier pour l’entreprise, et donc le vœu formulé par le couple était d’avoir un garçon. Une fille à la tête d’une société influente, quelle idée impensable !

Ken atterrit donc dans cette famille bourgeoise où l’on manquait cruellement d’amour. Premier enfant, premier garçon, tout allait pour le mieux.
Dès son plus jeune âge, le jeune garçon fut élevé comme un futur héritier. Il devait parfaire dans tous les domaines : il devait être un beau petit garçon, poli et bien élevé, bon à l’école et exemplaire.
Il entra à l’école primaire à l’âge de six ans, comme tous les jeunes de son âge. Sa mère l’avait averti : il devait être un élève modèle, sage et discipliné. Elle l’avait élevé dans ce but. Ken était trop petit pour donner son avis alors il obéissait sans rechigner. Mais au fond de lui il savait qu’il ne pourrait pas rester ainsi toute sa vie. Il s’en rendrait compte plus vite qu’il ne le pensait.
Très vite il voulut s’amuser avec les autres enfants, jouer avec eux à tous ces jeux qui bercent notre enfance, mais il ne pouvait profiter de ces moments de bonheur que pendant les récréations car le reste du temps sa mère l’emmenait à la dernière minute et le récupérait dès la sonnerie de la fin de journée. Ainsi elle était sûre qu’il ne restait pas avec les petits sauvageons. Tu parles, elle avait placé son fils dans une école primaire privée, où les jeunes étaient très bien encadrés. De vrais petits soldats.
Le jour où sa mère remarqua des tâches de boue sur ses vêtements parce qu’ils avaient fait une sortie scolaire et qu’il avait joué avec les autres marqua la fin de la liberté pour Ken. Il était sans cesse surveillé.

Son entrée au collège, à douze ans, fut catastrophique ; Mme Anzai avait inscrit de force son fils dans une école privée. Ken n’osait rien dire mais il n’avait aucune envie d’aller dans une école privée constituée de sales bourges égocentriques. Là, toutes les filles étaient des premières de la classe qui ne songeaient qu'à étudier, et les garçons étaient dans la même optique.
Pourtant, cela lui réussit car il se fit quelques amis qui comme lui ne supportaient pas l’idée d’avoir été traînés de force ici. Ensemble, ils s’amusaient comme ils le pouvaient, inventant des jeux bizarres et riant pour un rien. Avec ses quelques amis, la vie dans cette prison était au moins plus supportable.
Mais la pire des prisons restait sa propre demeure. A peine rentré, Ken devait faire ses devoirs, surveillé de près par sa mère qui supervisait tout en bonne dictatrice, il devait ensuite faire la vaisselle pour apprendre à être autonome. Le reste des tâches ménagères était réalisé par une domestique, mais parfois Mme Anzai forçait son fils à passer le balai ou faire la lessive pour forger son caractère. Ensuite, il prenait des cours de piano, ce dont il n’avait aucune envie car il préférait de loin la guitare. Mais il avait la stricte interdiction d’en toucher une. Le piano c’était plus gratifiant, la guitare c’était pour les manouches. Quelle belle perspective …
Ken en avait assez de cette dictature sous laquelle il vivait. Son père, toujours constamment absent, ne se souciait de rien et savait pertinemment que sa femme exerçait une éducation modèle sur le futur héritier. Le jeune homme manquait d’amour maternel, et paternel à y être puisqu’il n’avait été conçu que dans le but d’hériter. Mais Ken savait au fond de lui qu’il n’hériterait jamais et qu’il ferait autre chose de sa vie. Il aurait préféré avoir un petit frère qui veuille ardemment prendre la tête de la société familiale, mais malheureusement il était fils unique et ses parents n’allaient pas gaspiller de l’argent à élever un autre gosse, ayant déjà leur héritier sous leur aile.

C’est en dernière année de collège que Ken commença à revendiquer son indépendance. Il commença par fuguer, un soir, pour aller faire un karaoké avec sa bande d’amis, histoire de décompresser avant le concours d’entrée au lycée.
Il fut consigné dans sa chambre durant toutes les vacances, privé de tout. Il devenait un robot n’ayant comme instruction que d’obéir à ce qu’on lui ordonnait.
Mais Ken devenait fort. Il avait tout de même eu l’autorisation depuis tout petit de pratiquer le baseball, s’il avait de bonnes notes. Et il en avait, c’était un brillant élève. Il était le meilleur de sa promotion et au baseball aussi, c’était sa seule passion, la seule chose qui lui permettait de se vider la tête et d’être lui-même.
Alors un jour, il menaça sa mère de refuser de prendre la tête de l’entreprise si elle ne le laissait pas choisir son lycée. Il lui posa un ultimatum. La mère était embêtée, elle savait qu’il allait postuler pour une école mixte et publique, et elle ne voulait pas qu’il aille batifoler et perdre la tête avec des filles dévergondées. Mais elle était consciente que Ken était très sérieux dans ses menaces, et que de surcroît, il était têtu, de manière presque maladive. Elle dut donc se résigner, à contrecœur, d’accepter le marché de son fils.
Mais Ken savait pertinemment que malgré leur arrangement, il se débrouillerait pour ne pas reprendre la tête de l’entreprise. Il trouverait quelqu’un de plus compétent à présenter à son père qui ne pourrait décemment pas refuser. Mais pour l’instant, l’heure était à l’amusement et il allait pouvoir rattraper le temps perdu.

Il réussit donc avec brio le concours d’entrée au lycée Jiyuu Gakuen qui était l’un des plus récents de la capitale. Il perdit de vue ses amis du collège qui avaient été inscrits en privé, mais trop heureux d’avoir gagné sa liberté, il se dit qu’il se ferait d’autres amis là-bas.
Ainsi, très vite Ken développa une attitude de boute en train toujours souriant et blagueur. Cette image de lui, lui plaisait bien plus que celle du jeune adolescent modèle que se faisait sa mère de lui. Bien sûr, elle ne savait pas comment il était au lycée, persuadée qu’il avait assez de respect envers sa famille et son ‘rang’ pour être décent et calme. Il en avait aussi profité pour s’inscrire à l’internat, histoire de limiter les entrevues électriques avec sa mère. Son père, il ne s’en souciait guère, on va dire qu’il le voyait environ une fois par an.
Mais maintenant qu’il était là où il voulait, il commençait à se relâcher scolairement, pour rester à un niveau correct. Alors avec sa mère c’était pas la joie. Ils passaient leur temps à se crier dessus, l’un haussant la voix plus fort que l’autre, et ainsi de suite. Mais la mère gardait en tête la menace sérieuse de son fils, prononcé un an auparavant, et donc elle évitait de le désinscrire de son lycée ou de lui refuser l’internat. Il était devenu fort et malin, il fallait qu’elle se méfie. La partie d’échecs entre eux deux avait commencé, et pour l’instant Ken était en tête, loin devant. Il réussissait à avoir tout ce qu’il voulait maintenant.
Par contre, il ne profitait en aucun cas de son statut de ‘gosse de riche’, voulant être un élève comme les autres. Ainsi, même si tout le monde savait qui était son père, tout le monde l’adorait parce qu’il n’agissait pas comme un petit bourgeois.

En deuxième année, Ken fit l’agréable connaissance de Nobuo, un élève aussi déjanté que lui. Ils s’entendirent très bien, et sa deuxième année au lycée fut d’autant plus agréable.
Puis se forma naturellement un groupe de dix garçons populaires du lycée -sans doute une idée des filles, tiens !, et à sa grande surprise il en faisait partie. Ils furent baptisés les Kaze ne Shounen pour marquer le coup.
Puis lorsque vint sa 3ème année, le directeur, au vu de la popularité du groupe, demanda aux KnS de prendre sous leurs ailes des élèves en difficulté, quelles que soient leurs lacunes. Ca promet !


๑ behind the screen
PSEUDO ─ Mina
ÂGE ─ 18 y.o
FREQUENCE CONNEXION ─ 7/7
COMMENT AVEZ-VOUS ATTERRI ICI? ─ Je me le demande encore ...
AVATAR? ─ YamaP
PREDEFINI? ─ oui
QUELQUE CHOSE A DIRE? ─
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